Fri/Mar/AM
La simple évocation de son nom renvoie dans un Paris délicieusement suranné, au cœur des bistrots chics où le brouhaha des conversations couvre à peine la rumeur des fourchettes et des verres qui trinquent. Pouvait-on se douter d’un retour de cool du vol-au-vent ? Pas vraiment. Et pourtant, ce plat typiquement parisien composé de pâte feuilletée garnie à l’envi s’offre désormais une place de choix sur les menus les plus convoités de la capitale. Sacrifice oblige, on est allés les goûter pour vous en révéler notre top 10.
Fri/May/AM
Cette brasserie, fondée en 1864, aurait été la première de Paris à servir de la bière à la pompe !
Si son décor Art nouveau a vu se succéder des générations de Parisiens, un changement de propriétaire lui a redonné, depuis quelques années, un élan salutaire.
Symbole de ce renouveau, Olivier Nasti, 56ans, double étoilé alsacien et chef de l’année Gault & Millau 2023, y propose
ces jours-ci, exceptionnellement, des plats de sa très réputée winstub (équivalent alsacien de nos bistrots) de Kaysersberg(Haut-Rhin).
Bravo pour la tarte à l’oignon bien moelleuse et sa choucroute garnie, entre autres, d'une lawerwurscht saucisse typique au foie faite maison.
Apres un kougelhopf glacé au marc de gewurztraminer, on repart content d'avoir (re)découvert cette institution.
Thu/Mar/AM
Au printemps 2023, l’authentique brasserie Bofinger, ambassade de l’Alsace à Paris accueillera le Chef Meilleur Ouvrier de France doublement étoilé au Guide Michelin Olivier Nasti.
Il proposera quelques plats issus de la Winstub de sa Maison Le Chambard à Kaysersberg pour faire rayonner encore plus fort la gastronomie alsacienne dans la capitale.
Au menu, en plus de la carte habituelle de Bofinger, du 30 mars au 31 mai 2023, une sélection de deux entrées, trois plats, un fromage et un dessert signatures que le Chef Nasti affectionne particulièrement et qu’il est heureux de faire découvrir chez Bofinger pour une escapade en pays alsacien, la Bastille en toile de fond.
Dans l’assiette l’excellence de la tradition alsacienne : tarte à l’oignon caramélisée, truite fondante des montagnes, joue de porc confite, tête de veau grillée ou encore munster flambé emblématique, des recettes qui traduisent la générosité et la convivialité de la région.
En point d’orgue, le Chef livre sa version de la choucroute « réconfort ». Sur un lit de chou fondant saumuré on retrouve de belles pièces de viande soigneusement sélectionnées parmi lesquelles des knacks, de la poitrine de porc confite, de la saucisse au cumin, de la saucisse blanche et un demi jarret. Savamment disposée dans une cocotte en fonte, le meilleur de la gastronomie alsacienne est à retrouver chez Bofinger !
Fri/Feb/AM
Ultime et spectaculaire brasserie à se souvenir de l’Alsace à Paris.
Décor ravageur et choucroute boulevardière.
Mon/Dec/AM
Pour cette fin d’année, les brasseries historiques régalent les parisiens autour de l’incontournable plateau de fruits de mer.
Wed/Nov/AM
Dîner dans un bouillon, sortir dans un décor Art déco, s’attabler chez un routier ou mondaniser sur du formica… La canaille et l’esprit titi n’ont jamais été aussi en vogue : l’œuf mayo, les asperges mimosa, le clafoutis et la mousse au chocolat tiennent le haut du pavé et les tables qui ont une âme s’avèrent les spots les plus prisés des Parisien·ne·s branché·e·s. La preuve : tous les grands chefs s‘en mêlent ! Le coolness n’a décidemment pas d’âge...
Sat/Oct/AM
Dans la capitale, la brasserie Bonfinger est considérée comme l'une des plus belles brasseries de Paris. Décor Art Déco élégant, cuisine traditionnelle et spécialités alsaciennes... Partons à la découverte de cette brasserie historique !
Il était une fois Bofinger…
Entre Bastille et la place des Vosges se trouve une véritable Institution parisienne : la Brasserie Bofinger. Depuis plus de 150 ans, cette brasserie historique a su traverser le temps, sans jamais perdre de son âme, de son charme, ni l’authenticité de sa gastronomie.
Fondée en 1864 par l’aubergiste alsacien Frédéric Bofinger, elle est la plus ancienne brasserie alsacienne de Paris.
À l’époque, elle est d’ailleurs la première à servir la bière « à la pompe », comprenez « à la pression ». Séduits, les artisans alsaciens installés dans le quartier de Bastille s’y pressent, pour consommer leur bière munis de leur propre chope.
Côté décor, l’apparat de la Brasserie Bofinger laisse sans voix. En 1919, la rénovation de l’établissement est confiée à l’architecte Legay et au décorateur Mitgen. Ensemble, ils redonnent au lieu ses lettres de noblesse. Majestueuse, époustouflante et ainsi sublimée, la Brasserie Bofinger est alors communément appelée « la plus belle brasserie de Paris ». Banquettes en cuir, boiseries, grands miroirs, immense coupole parée de motifs floraux … De nos jours, au coeur de ce véritable joyau Art Déco règne une élégance intemporelle.
Mon/Oct/AM
LA CHOUCROUTE ALSACIENNE DE BOFINGER.
Les foodies avertis sont (à peu près les seuls) à avoir remarqué une véritable choucroute mania, spécialité alsacienne que l’on pensait rangée dans le tiroir des plats d’antan. Que nenni ! Avec les bons ingrédients et un certain savoir-faire, la starlette strasbourgeoise se paie un retour de cool.
On fait kiffer ses invités avec la version tradi et tellement yummy de Bofinger, institution bistrotière alsacienne qui en deale à emporter. Dedans : saucisse blanche, saucisse de Strasbourg, poitrine de porc fumée, échine, pommes à l’anglaise, chou cuisiné maison (oignons confits au saindoux, genièvre, coriandre et cumin), le tout arrosé au Crémant d'Alsace.
Le bon vin pour l’accompagner : un blanc d’Alsace évidemment, Riesling ou Sylvaner, au choix.
Choucroute strasbourgeoise, 17,20 € par personne. En click & collect ou en livraison sur bofingerparis.com
Sat/Nov/AM
La plus traditionnelle - La Brasserie Bofinger
La Brasserie Bofinger fait partie des adresses gastronomiques incontournables de Paris. Située dans le quartier du Bastille-Marais, cette brasserie au décor chic et traditionnel est connue pour ses spécialités alsaciennes. Vol-au-vent de Bofinger, kouglof façon pain perdu ou encore baeckeoffe de bar au gewurztraminer, la cuisine traditionnelle française est au menu. Mais rien ne surpasse la célèbre choucroute alsacienne, déclinée en sept façons différentes.
Fri/Nov/AM
Véritable monument gourmand de la capitale, l'historique brasserie Bofinger a repris du service depuis le début du mois de septembre. Après une rénovation discrète et raffinée, l'établissement centenaire conserve son essence : le chic, la simplicité, la générosité alsacienne...
À première vue, rien n’a changé. Les miroirs biseautés sont toujours en place, les tables et les grandes banquettes incitent toujours autant à faire ripaille. Et pourtant, la brasserie iconique du quartier Bastille-Marais, à Paris, a pris le temps (du confinement) pour se refaire une beauté. En regardant de près, le travail a été minutieux. De la grande salle de la verrière aux salons à l’étage, en passant les façades boisées et les vitraux :Bofinger a retrouvé son éclat d’antan.
Le bonheur de savourer 'le meilleur de l’Alsace à Paris' est toujours là, preuve que l’établissement du groupe Bertrand a su évoluer avec son temps sans perdre l’esprit de partage et de gourmandise qui l’habite depuis 1864. En cuisine, Georges Belondrade est toujours en place. Depuis 2004, il orchestre avec entrain ce grand ballet gastronomique ouvert 7 jours sur 7. Les spécialités alsaciennes qui font la renommée du lieu font toujours leur effet : le Vol-au-vent de Bofinger (31,50 €), le Kougloff façon pain perdu (12 €) et les beaux plateaux de fruits de mer (dès 29 €).
La choucroute, toujours reine
Mais la vedette, la tête d’affiche, c’est la choucroute. Déclinée en sept versions, elle séduit grâce à son chou cuisiné selon la tradition : oignons confits au saindoux, genièvre, coriandre et cumin. La recette signature règle le compte de tous les appétits avec son mélange féroce de jarret de porc demi-sel, saucisse blanche, saucisse au cumin, saucisse de Strasbourg, poitrine de porc fumée, échine et pommes à l’anglaise !
Plus qu’un restaurant mythique, la brasserie reste un lieu de vie qui réunit les locaux et les visiteurs de passage. La formule midi délivrée du lundi au samedi (19,90 €, deux plats), tout comme le menu Bofinger (33 €, trois plats) permettent ainsi de se régaler sans se ruiner. Et, côté vins, l'accord reste bien évidemment alsacien avec les belles cuvées de Gustave Lorentz (pinot blanc, pinot noir, riesling, sylvaner).
Tue/Nov/AM
A deux pas de la place de la Bastille, BOFINGER perpétue le charme intemporel des mythiques brasseries parisiennes.
Thu/Oct/AM
La 11 de Bofinger
On y était l’autre soir, c’était un vendredi : quel plaisir de voir ce décor s’animer au fil du dîner avec ses fleurs et ses petits chapeaux blancs (les serviettes blanches sur table) que les clients dénouent les uns après les autres. Le meilleur panorama est incontestable et on le pratiquera depuis la spacieuse table 11 en angle (à moins d’opter pour la table du coin opposé, c’est selon).
Avec une choucroute, évidemment, dans ce temple alsacien où elle se décline en cinq versions.
Wed/Oct/AM
Depuis 1864 – soit sept ans avant l’annexion de l’Alsace à la Prusse – , Bofinger ouvrait ses portes à Paris, affirmant la primauté de la gourmandise alsacienne tout azimut. Un siècle et demi plus tard, la maison, devenue la perle du groupe Bertrand proche de la place de la Bastille demeure une ambassade privilégiée de l’Alsace à Paris, avec son salon Hansi, ses marqueteries de Panzani, ses riches vitraux, dont un dédié au roi Gambrinus, souverain de la bière, ses dessins splendides, sa vaste coupole sous verrière Art nouveau du rez de chaussée
Wed/Nov/AM
Le directeur de Bofinger, M.Amédée, nous fait voyager dans ce qui fut la première brasserie à faire déguster la bière pression aux parisiens.
Fondée en 1864, notre brasserie institutionnelle parisienne a conservé son décor d'époque, maintenant classée aux Monuments historiques.
Savourez une carte classique ainsi que des spécialités typiques alsaciennes dans l'intimité de notre restaurant !
Merci France Bleu !